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Alice et jules 9 – Les chaussures d'Alice

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Alice et jules 9 – Les chaussures d'Alice

Alice, mon épouse, est extrêmement féminine. Un de ses plaisirs favoris consiste à acheter des chaussures. Elle en a pourtant toute une collection qui remplit notre dressing. Les modèles qu'elle préfère sont en général à talons hauts et très sexy. Elle en a quelques paires qui ne lui serve d'ailleurs pas que pour marcher car, comme je suis fétichiste des pieds et chaussures, elle ne se prive pas de les essayer sur moi.
Le week-end dernier, nous sommes donc partis faire des emplettes en ville. La moisson de vêtements avait été bonne et je portais les sacs pendant qu'elle continuait à faire du lèche vitrine.
À 47 ans, Alice est vraiment une belle femme, sensuelle et magnétique. Ses jambes sont fines, sa poitrine est ferme et volumineuse. Elle peut se permettre de ne pas porter de soutien-gorge. Nombre de plus jeunes auraient rêvé d'avoir ses seins.
Il était assez tard et les magasins commençaient à fermer. En passant devant un chausseur, elle vit un modèle qui lui fit envie, une paire de mules noires assez provocante, le genre que j'aime particulièrement. À l'intérieur, le vendeur, qui avait des clefs à la main, se dirigeait vers la porte pour la fermer. Ma femme se mit vite en évidence devant la porte. Elle prit son air implorant pour l'attendrir et l'inciter à accepter une dernière cliente. Derrière sa porte en verre, il sourit et l'ouvrit.
« Je ne vais quand même pas vous faire ça ! » Dit-il à Alice avec un sourire.
Nous entrâmes donc dans le magasin. Le chausseur referma à clefs derrière nous et nous accompagna dans sa boutique. Il avait environ quarante ans, était brun, svelte et assez petit. Il portait un pantalon slim, une chemise blanche et des chaussures d'été en cuir fin. À côté de lui, ma femme faisait presque une demie tête de plus.
« J'aimerais essayer un modèle que j'ai vu dans votre devanture. » Lança Alice.
« Lequel ? » Demanda le chausseur.
« La paire de mules noires, celle qui a un joli bandeau en dentelle. »
« Vous chaussez du combien ? »
« Du trente-neuf. »
« Il m'en reste une paire en réserve. Suivez-moi ! Je vais vous installer confortablement ! »
Il nous précéda vers le fond du magasin, nous fit signe de nous asseoir sur des fauteuils de style ancien, partit dans sa réserve et revint avec la paire demandée. L'ambiance était agréable. Un air de house music emportait l'esprit vers d'autres frontières. Un léger parfum de cuir embaumait l'atmosphère.
Il mit un genou au sol devant Alice qui attendit. Le chausseur prit sa cheville droite pour lui retirer la chaussure qu'elle portait, une paire d'escarpins à talons aiguilles, bouts pointus et ouverts sur l'arrière. Il fit délicatement descendre la bride sur son talon, retira doucement la chaussure et la posa au sol.
Les ongles des orteils d'Alice étaient recouverts d'un verni carmin, comme son rouge à lèvres. Le chausseur observa discrètement son pied nu. Du moins, c'est ce qu'il pensa, car Alice connaissait l'attitude des fétichistes et elle devina instantanément qu'il l'était. Ce ne fut pas pour lui déplaire, au contraire. Elle remua ses orteils subitement libérés, comme si elle voulait se détendre, mais en réalité, c'était uniquement pour tester le vendeur. Ce dernier, pendant qu'il retirait l'autre chaussure, regarda en coin les orteils d'Alice bouger. Alice le guettait. Elle capta son regard. Il parut gêné. Une bosse poussait sous sa braguette. Il bandait dans son slim. Elle lui sourit et se massa sensuellement le pied en le regardant. Ce comportement créa un doute dans l'esprit de notre homme, mais il ne dit rien. Il me regarda moi aussi. Je lui sourit à mon tour.
Il ouvrit la boîte, sortit la première mule. Alice leva légèrement son pied. Il saisit de nouveau son talon et enfila la mule. Au passage, il prit bien soin d'entrer en contact avec sa peau. Il fit de même pour la seconde chaussure.
Le chausseur voulut se relever. Alice allongea sa jambe droite en apparence maladroitement, comme si elle voulait regarder son pied chaussé. Pour noyer le poisson, elle dit :
« Elles sont magn.. ! »
Puis, elle toucha le sexe du chausseur. Son pied appuya fermement sur la bosse. Après quoi, elle le retira en le regardant. Aucun des deux ne pouvait faire comme si de rien n'était. Pour le chausseur, Alice savait maintenant qu'il bandait dans son pantalon. Le tout pour lui était de savoir comment elle allait réagir. Sauf que contrairement à ce qu'il croyait, Alice avait fait exprès.
À partir de ce moment là, j'ai compris qu'elle ne s'arrêterait pas en si bon chemin. Je la connais bien. Elle sait ce qu'elle veut, et elle l'obtient toujours.
Notre homme se releva, visiblement perturbé et, en bon commercial, dit
« Elles vous vont à ravir. C'est d'une élégance ! Vraiment très très sexy ! »
Alice se leva et marcha un peu avec dans le magasin.
« Oui, elle sont extrêmement confortables ! J'adore ! Et toi chéri ? » Me demanda t-elle en se retournant vers moi.
« Tu sais que j'adore ce genre de chaussure, pour plusieurs raisons d'ailleurs ! »
Le vendeur fut troublé.
Alice reprit gentiment.
« Oh ! Toi et les chaussures des femmes ! C'est une véritable histoire d'amour, dans tous les sens du terme. »
« Et vous ? Vous trouvez que ça fait quoi comme genre ? » Lui demanda t-elle.
« c'est vraiment très sexy, et même un tantinet provocant, mais sur vous, ça fait très classe, sophistiqué même, elle vous vont à merveille ! »
Il ne détachait pas ses yeux des pieds d'Alice. La bosse faite par son sexe comprimé était encore plus visible dans son pantalon.
« Oui, je trouve aussi. Les chaussures, c'est un peu comme la lingerie. Elle doivent montrer, mais pas trop, pour donner envie, imaginer ce qu'il y a derrière, enclencher un fantasme. Pour un fétichiste, ce modèle là doit être le top !Vous êtes d'accord avec moi ? » Lui demanda Alice.
Il était vrai que cette paire de mules lui donnaient un petit air sado maso, sexuellement attirant pour un homme de base, et encore davantage pour un fétichiste. Le pauvre chausseur ne savait pas quoi lui répondre. Il bredouilla quelques mots, intimidé et se trahit.
« Dans... dans mon cas, ça fait.... ça fait vraiment de l'effet, ça, c'est sûr ! »
Son visage était le reflet de son excitation et de l'envie qui le tenaillait.
Alice marcha vers lui en regardant son pantalon déformé. Sur un ton faussement intrigué, elle voulut lui faire avouer son penchant.
« Seriez-vous fétichiste, par hasard ? »
Il était acculé. Soit il acquiesçait, soit il mentait pour se dégager. Mais son état et l'attitude d'Alice l'incitèrent à se dévoiler. Après tout, il ne perdait rien. Il s'agissait d'une simple conversation. Il lâcha un modeste mot, à voix assez basse tellement il était mal à l'aise.
« Oui !
Alice passa à proximité de lui en frôlant son sexe bandé avec son bassin. Elle se rassit ensuite, observa notre vendeur, puis elle regarda alternativement ses mules ainsi que son sexe gonflé derrière le tissu.
« Ça doit être difficile pour vous alors ? Tous ces pieds de femmes et ses chaussures à leur faire essayer ? »
Il entra dans le jeu et se révéla pour une fois plutôt actif.
« Oui, mais toutes n'ont pas les mêmes pieds et la même classe que vous ! »
« C'est vrai aussi que toutes ne s'en servent pas forcément comme moi... je veux dire.... pas uniquement que pour marcher !
C'était clair. Elle sous entendait que ses pieds et ses chaussures servaient pour des pratiques sexuelles dont on pouvait imaginer qu'elle me concernaient moi.
« Hein, chéri, que tu aimes toi aussi ? »
Je confirmais.
« Je reconnais que j'ai de la chance ! »
Alice s'adressa au chausseur.
« Vous voulez bien me les retirer ? Vous êtes tellement habile ! »
Notre vendeur remit un genou au sol devant Alice. Il s'empara de son pied droit et fit glisser la chaussure. Il allait la poser au sol lorsqu'Alice posa son pied nu sur son sexe en appuyant, comme si elle voulait tester sa dureté. Notre homme se figea, la mule à la main. Il regarda Alice, puis son pied qui lui massait lentement le sexe.
« Qu...que faites... que faites vous ? »
« Allons ! Ne soyez pas idiot ! Ça vous plaît ? » Lui demanda t-elle avec son air mutin.
Il grommela, les yeux mi clos.
« J'adore ! »
Alice continua à le caresser ainsi. Elle déboutonna son chemisier, écarta les deux pans. Ses deux seins jaillirent, fermes et imposants. Elle les mis en évidence pour que notre homme les voit bien, puis elle les caressa.
« C'est mieux comme ça ? » Lui demanda t-elle, provocante.
« Ou... oui... c'est... c'est beaucoup mieux comme ça ! »
« Vous devriez vous mettre à l'aise. Ça ne vous gêne pas votre pantalon ? »
Il se mit à genoux, comme un communiant. Il ne savait plus quoi faire, resta immobile, comme stupéfait par l'audace de ma femme. Elle leva l'autre jambe, approcha son pied de son visage et le passa lentement sur les lèvres du vendeur. Surexcité, il saisit son pied et se mit à l'embrasser, les yeux fermés. Il était sur une autre planète, totalement harponné par Alice qui pouvait en faire ce qu'elle voulait, ce qu'elle adorait par dessus tout. Jouer avec les hommes et les dominer lui procurait un plaisir intense. Elle ne s'en priva pas et appuya fort sur le sexe du chausseur.
« Ce n'est pas trop douloureux ? Car pour moi, c'est très désagréable ! Je préfère le contact de peau à peau si vous préférez. »
Il réagit enfin, tout en continuant à lécher le pied d'Alice. Sans regarder, il ouvrit son pantalon et le baissa. Son sexe turgescent et humide dépassait de son slip. Alice se fit plus ferme.
« C'est votre bite que je veux ! Baisser votre slip ! »
L'homme fut sonné par l'autorité d'Alice. Il arrêta de lécher son pied. Posa ses mains sur son slip et le baissa comme un gamin qui vient de faire une bêtise.
Il se retrouvait maintenant à genoux, slip et pantalon baissé au maximum, au bas de ses cuisses. Son sexe était assez long et large. Son gland gonflé à bloc était sorti de son prépuce. Il était luisant de sécrétions.
Alice le regarda.
« Alors comme ça, vous aimez les chaussures ? »
Le chausseur n'était plus qu'un pantin. Il aurait fait et dit n'importe quoi.
« Ou... oui... ! »
Elle posa son pied sur le gland au bout duquel une goutte perla et appuya sur la queue raide comme du bois de notre vendeur. Elle se fit plus dure, presque autoritaire.
« Oui comment ? »
« Oui... oui madame ! »
« C'est bien ! » Répondit-elle satisfaite.
Elle commença à faire aller venir son pied sur la tige de l'homme qui soufflait de plaisir. Ses ongles vernis s'enfonçait dans la toison pubienne du type à chaque mouvement vers l'avant. La bite coulissait sous la plante de son pied, ainsi que son gland cramoisi.
De mon côté, ça commençait aussi à être très très dur. Ma queue était douloureuse, complètement comprimée par mon pantalon.
« Vous aimez ? » Demanda Alice au vendeur.
« Oui... oui madame ! »
« Vous avez envie de jouir ?
« Oui madame ! »
« Mettez les mules sous votre bite ! Vite ! »
Le chausseur attrapa les deux mules. Il les plaça en dessous de sa queue. Mais comme elle estimait que ça ne suffisait pas et surtout, qu'elle n'y trouvait pas assez de plaisir, elle me demanda :
« Chéri ! Montre à monsieur comment je peux être salope ! »
Je savais exactement ce que voulait dire cette phrase, car ce n'était pas la première fois qu'elle la sortait. Je me suis alors levé de mon siège sans dire un mot, me suis approché de ma femme et j'ai descendu ma braguette. J'ai sorti mon sexe et j'ai commencé à me masturber en pointant mon gland vers son visage, à quelques centimètres de ses lèvres.
Pendant ce temps, elle n'avait pas quitté des yeux l'homme qui se trouvait à ses genoux et qui nous regardait. Perturbé par cette demande lubrique, il délaissa momentanément le pied d'Alice.
« Lèche ! » Lui demanda t-elle en plaquant son pied sur sa bouche.
Pendant qu'elle branlait l'homme avec son pied, qu'elle se faisait lécher l'autre et que moi, je me masturbait au plus près de sa bouche, elle continua à se caresser les seins, ne quittant pas le vendeur des yeux.
Le type n'en pouvait plus et moi aussi d'ailleurs.
« J'aime le contact d'une bonne bite sous mes pieds. Sentir la peau et le prépuce rouler sous mes orteils. Humm... et à la fin, le sperme gicler sous mes pieds ! »
C'en était trop, même pour moi qui était habitué. J'ai poussé un petit cri étouffé et j'ai joui. Mon sperme à fusé sur les lèvres d'Alice et son menton, coulant entre ses seins qu'elle continuait de caresser en étalant mon sperme. Ça ne l'a en aucun cas gênée. Elle était trop concentrée sur l'avenir de son jouet. Elle lui porta l'estocade.
« J'aime être aspergée de foutre ! ».
Cette phrase agit sur lui comme un électrochoc. C'était comme si le vendeur avait reçu une décharge de courant électrique. Il se cabra et gémit. Son sperme fusa sous le pied de ma femme qui continua à le branler au même rythme. De longues coulées de liquides tombaient au sol, dans et sur les mules posées sous la queue tremblante. Je vis son sperme s'étaler sous son pied et une partie couler dans les mules, sur la cambrure qui partait du talon vers la pointe, à l'intérieur.
L'homme tremblait de tout son corps. Il semblait exténué. Pour ma part, je remis mon sexe dans mon pantalon et me rassis sur mon siège.
Alice, quant à elle, prit un mouchoir en papier pour essuyer le sperme qui lui coulait sur le menton et entre les seins, jusqu'à son ventre.. Après quoi, elle referma son chemisier, chaussa les mules et s'adressa au vendeur comme si rien ne s'était passé.
« Je les prends ! Elle sont trop belle ! »
Le chausseur était stupéfait. Il se releva, remonta son slip et son pantalon. Il choisit d'adapter son comportement sur celui d'Alice. Ne pas revenir sur ce qui venait de se passer et enchaîner sur autre chose. Oui, c'était sans doute ça qu'il devait faire.
Il balbutia un peu au début, mais il reprit assez vite ses esprits.
« Vous... vous les prenez ? »
« Oui ! Elle sont parfaites pour moi ! »
Il voulut lui proposer de nettoyer ses chaussures, mais Alice lui coupa la parole.
« Vous voulez que je les net... »
« Je les garde au pieds. On est si bien dedans ! »
Il n'insista pas.
Après avoir payé la facture, au moment ou nous avons franchi la porte de sa boutique, il nous a remercié. Alice lui a alors répondu :
« Vous avez de très beaux modèles. Je reviendrai ! Soyez en sûr ! »
Il a fermé à clefs derrière nous et nous a regardé partir, surtout les pieds d'Alice.
La semaine suivante, je sais qu'elle est retournée chez le chausseur avec les mules noires, car j'étais en ville à ce moment là. Il y avait des clients, c'était en pleine journée. Notre vendeur était derrière sa caisse. Elle est entrée dans la boutique, a regardé d'autres modèles, mais toujours de façon à ce que le chausseur puisse voir ses pieds. Elle prenait soin de se déchausser parfois puis de les enfiler doucement. Elle a même demandé à essayer une autre paire avec un autre vendeur qui se trouvait dans le magasin. Pendant l'essayage, elle à regardé le chausseur qui ne bougeait pas de sa caisse. Lui aussi, entre deux encaissements, ne perdait pas une occasion de la regarder. Alice est ensuite sortie sans rien acheter.
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